Laure Manaudou une championne
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 compte-rendu des mondiaux de Melbourne

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MessageSujet: compte-rendu des mondiaux de Melbourne   compte-rendu des mondiaux de Melbourne EmptyLun 2 Avr - 12:45

Postz ici vos impressions, articles et interviews sur l'equipe de France apres les championnats du monde 2007
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MessageSujet: Re: compte-rendu des mondiaux de Melbourne   compte-rendu des mondiaux de Melbourne EmptyLun 2 Avr - 12:46

Les Mondiaux à Melbourne se terminent sur une note plutôt maussade pour les Français: Malia Metella et le relais 4x100m 4 nages composé de Dufour, Leveaux, Duboscq et Bernard, ont tous deux terminé aux septièmes places de leurs finales. Le bilan de la tricolore s'arrête donc à... 7 médailles.
Le tableau des médailles ne s'agrandira donc pas au terme de cette ultime journée des Championnats du monde, et restera bloqué à 7 (3 en or, 2 en argent, et deux en bronze). Nicolas Rostoucher et Sophie De Ronchi ne sont pas parvenus à se sortir des séries pour atteindre les finales du 400m 4 nages hommes et femmes. Seuls Malia Metellia, et le quatuor du relais 4x100m 4 nages ont finalement réussi à passer l'obstacle pour s'offrir le droit de disputer les finales.
Mais, que ce soit pour la jeune Guyanaise ou pour Simon Dufour et ses équipiers, les espoirs d'éventuel podium ont vite volés en éclat. Metellia n'a pas encore retrouvé son meilleur niveau et son aisance dans les grands rendez-vous. Partie sur la bonne cadence, la nageuse Tricolore a calé à la sortie du virage. Elle ne terminera qu'à la septième place de l'épreuve. Une avant-dernière place qui n'est toutefois pas honteuse, pour sa première finale depuis bien longtemps, et qui lui rend d'ailleurs progressivement son optimisme (voir "La journée des Français). Ses compatriotes du relai retiennent essentiellement le plaisir qu'ils ont pris durant la compétition. En clôture de la journée, et donc de ces Mondiaux de Melbourne, le relai du 4x100m 4 nages, composé de Dufour, Duboscq, Leveaux, et Bernard, n'a pas démérité mais n'a rien pu faire contre les vagues adverses.
La première moitié de la course a d'ailleurs été intense et mouvementée, le Japon, la Russie, la Grande-Bretagne, et les inévitables Australiens se livrant un duel à quatre. Les derniers cinquante mètres seront bouillonnants et il faudra beaucoup de résistance à Sullivan pour maintenir ses quelques centimètres d'avance sur Hosokawa. Les Tricolores sont loin de ce débat et gardent finalement en tête le record de France, qu'ils ne parviendront toutefois pas à atteindre. 7e de la compétition, ils repartent donc bredouille, même si Alain Bernard s'était octroyé à l'avance un "lot de consolation" en battant un peu plus tôt dans la compétition le record de France en relai 4x100m libre.



Eurosport - J.T - 01/04/2007 16:56

source: www.eurosport.fr
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MessageSujet: Re: compte-rendu des mondiaux de Melbourne   compte-rendu des mondiaux de Melbourne EmptyLun 2 Avr - 12:46

Les ratés français
Malia Metella, Frédérick Bousquet ou encore Simon Dufour. Les principaux cadres de la délégation tricolore à Melbourne n’auront jamais pu suivre le rythme effréné de leur chef de file, Laure Manaudou.

Par Bastien Aubert

Metella en retrait
Six médailles dont cinq pour l’unique Laure Manaudou. A côté des exploits répétés de la meilleure nageuse française de tous les temps, le clan tricolore peut faire pâle figure. Le 800m de Sophie Huber, plutôt honnête, est à l’image de ce constat. Loin derrière sa leader samedi, celle-ci avait bien du mal à attirer les regards de la foule et même les commentateurs de France Télévisions, semblaient se forcer pour faire allusion à sa course. C’est dire le travail qui reste à faire aux éléments de l’équipe de France pour suivre l’exemple de sa patronne…

Pour diverses raisons, Malia Metella était elle aussi très attendue à Melbourne. D’abord, parce qu’elle avait conquis la médaille d’argent sur 100m nage libre à Montréal il y a deux ans avec un chrono canon de 54’’74. Ensuite, parce que son année 2006 avait été rendue difficile par une blessure au thorax. Déjà en difficultés en demi-finales, la Guyanaise n’a pas fait illusion très longtemps en finale en clôturant même la marche avec le 8e temps (54’’77) sans avoir grand-chose à se reprocher. Juste le fait de ne plus faire partie du haut du pavé de la spécialité face à des concurrentes qui ont parfaitement profité de la dernière saison pour préparer la compétition avant les JO 2008. La finale du 50m confirmant ce fait (7e). La grande copine de Laure Manaudou, Esther Baron, a quant à elle bien écouté les critiques de son entraîneur Philippe Lucas. Après avoir qualifié la première sortie de sa protégée de «zéro, nulle et catastrophique», celui-ci se mordait les doigts en la voyant terminer au pied du podium du 200m dos, après avoir épinglé le record de France (2’09’’59). Un goût amer même si la performance pourrait également être classée parmi les satisfactions personnelles.

Bousquet le savait
Sur 50m dos, Simon Dufour est lui aussi à mettre dans la catégorie des déceptions. Recordman de France de la spécialité, il s’est même fait éliminer dès les séries en signant un 26’’58, soit le 25e temps, très loin des 16 qualifiés. Une sortie prématurée que n’ont pas connue Alain Bernard et Frédérick Bousquet. Très à l’aise lors des séries du 50m libre, les deux sprinteurs se loupaient pourtant lors des demi-finales avec des temps inférieur aux originaux ! Bousquet, qui déclarait après son élimination prématurée lors du 50m brasse qu’il s’agissait de sa première déception et qu’il pourrait y en avoir d’autres dans ces Mondiaux, avait vu juste. Même si elles furent globalement plus au point que leurs homologues masculins, les femmes doivent assumer leur part d’absence sur la même distance en papillon. Aurore Mongel et Camille Muffat furent loin du compte avec les 26e et 28e temps des séries ! Peut-être plus que le sprint, le demi-fond aura était la grande désillusion aux Antipodes. Engagé sur le 1500 libre, Sébastien Rouault et Sébastien Rostoucher ont semblé à des années lumières de leurs capacités habituelles. Avec les 23e et 24e temps des séries (15’23’’98 et 15’24’’90), ils devaient déjà dire adieu à leurs rêves de demi-finales. A titre de comparaison, David Davies, meilleur temps des séries matinales de samedi, avait bouclé son trajet aquatique en 14’53’’57 ! Egalement en lice dans le relais 4x200m, les deux Tricolores ne faisaient pas plus de miracle en demies.

source: www.sports24.com
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MessageSujet: Re: compte-rendu des mondiaux de Melbourne   compte-rendu des mondiaux de Melbourne EmptyLun 2 Avr - 12:47

Natation-ChM-Bilan - Fauquet:«Le protentiel est là»



L'équipe de France termine troisième nation mondiale avec six médailles. Mais est-ce la performance d'un collectif ou d'une individualité d'exception, Laure Manaudou ? La Française a trusté toutes les breloques individuelles des Bleus. Laure Manaudou cache telle une équipe de France en difficulté ? Le Directeur technique national, Claude Fauquet, dresse un bilan de ces Mondiaux, évoque le potentiel de ses nageurs et regarde déjà vers Pékin avec 75 semaines de travail avant les Jeux olympiques.



Quatre médailles individuelles pour Laure Manaudou

Avec six médailles dont deux d'or, l'équipe de France termine troisième nation mondiale de ces Championnats du monde, une première pour les Bleus... «Six médailles, c'était notre objectif. Sur ces six médailles, quatre le sont à titre individuel pour Laure. Si je compare aux années où nous avions fait quatre médailles, il y avait quatre médaillés. Cette fois, il n'y a qu'une seule médaillée à titre individuel. Entre le passage des Championnats d'Europe aux Mondiaux, il y a eu un petit écart que toute la natation européenne a subi. Quatre médailles pour une seule nageuse, c'est un exploit, quelque chose d'extraordinaire. Je ne suis pas inquiet parce qu'il y a des potentialités, certes elles ne se sont pas exprimées ici mais elles existent.»



La date, la jeunesse, les Championnats d'Europe

Si le potentiel est là, pourquoi ne s'est-il pas exprimé à Melbourne à l'exception notable de Laure Manaudou ? « La date de cette compétition influence beaucoup les performances avec cette transition entre les Championnats d'Europe et du Monde. Si nous étions les seuls à vivre cela, je dirai on a un problème, mais je suis persuadé que nos nageurs étaient prêts. Le deuxième problème relève de la jeunesse. L'expérience est un facteur fondamental de réussite. Ce manque d'expérience et parfois d'attention peut passer aux Championnats d'Europe mais pas au niveau mondial. Le lieu avec l'éloignement et le décalage horaire ont également joué. Passer de la dynamique de Budapest à Melbourne a été une rupture très importante. » Le DTN estime également qu'il manque un leader dans l'équipe de France masculine qui a commis quelques petites erreurs de jeunesse.



Le potentiel

« Je crois que ces jeunes nageurs progressent, même si cela ne se voit pas. Ils ont cette capacité à nager vite, à ne pas être distancé sur un certain nombre d'épreuves. Le potentiel est là, il faut juste qu'il puisse s'exprimer. Je suis un peu frustré de ne pas avoir vu Alain Bernard sur la finale du 100 m, il pouvait être le Canadien de service, sur cette première marche avec les autres. C'était possible.»



Laure et les autres

Est-ce que Laure Manaudou écrase les autres par ses performances et annihile les ambitions ? Laure Manaudou représente-t-elle à elle seule l'équipe de France ? Avec cinq des six médailles françaises, l'élève de Philippe Lucas a survolé la compétition, mais n'a-t-elle pas indirectement poser problème aux autres nageurs ? «Quand on a une championne de cette dimension avec un tel écart avec l'ensemble de l'équipe, ce n'est pas elle qui pose problème. C'est la façon dont les autres vont aborder cette relation à ce très haut niveau de performance. Ce problème existe. Parfois, cela peut paraître d'une autre dimension. Notre travail est de manager l'équipe pour que cette équipe ait des ambitions qui lui soient propres, que la comparaison ne soit pas seulement ce que fait Laure. Se fixer des objectifs progressifs pour que chacun individuellement aille à son maximum lors des JO de Pékin.»



Esprit d'équipe es-tu là ?

Le forfait d'Esther Baron et de Laure Manaudou qui devaient disputer les finales du 200 m dos et du 800 m nage libre le soir a fait grincer quelques dents lors des séries du 4x100 quatre nages. Sans dossiste, l'équipe de France a fait appel à Camille Muffat et ne s'est pas qualifiée pour la finale. Mais les relayeuses ont assuré l'essentiel en obtenant le ticket pour les Jeux olympiques. Comment s'est passé ce choix ? «Nous devrions être en mesure de surseoir à ce type de décision. Nous ne devrions pas être dans la difficulté comme cela s'est passé pour le 4x100 m quatre nages. Des finales mondiales l'après-midi, cela se respecte. Certaines filles étaient en colère au départ, elles ne comprenaient mais quand on peut discuter avec elles et qu'on leur a expliqué, elles ont montré un état d'esprit irréprochable. Ce relais est qualifié pour les Jeux et peut-être que si ce relais est médaillable aux JO, il faudra se rappeler ce qui s'est passé, que certaines filles ont pris conscience de l'importance de se qualifier pour les JO. C'est vrai que cette expérience va nous servir, j'ai déjà réfléchi à la manière de sélectionner les relais mais nous serons toujours soumis à la décision d'un coach ou d'un athlète, c'est humain. Je crois au potentiel des athlètes de se dire de servir ou pas l'équipe de France. Je comprends bien que l'enjeu du médaille mondiale ou olympique puissent l'emporter sur d'autres choses.»



Le programme à 18 mois de Pékin

Le compte à rebours a déjà commencé pour les Jeux Olympiques à Pékin. Après ces Mondiaux, les nageurs se sont octroyés une pause bien légitime avec une quinzaine de jours de vacances. Une dizaine d'entre eux font une petite escale d'une semaine en Nouvelle-Calédonie et après ils replongent dans le grand bain. « Il ne faut surtout pas passer par une phase de décompression trop longue qui serait dangereuse, très dommageable pour Pékin. Cette année pré-olympique est fondamentale en termes de préparation des bases de l'année olympique. Il y a 18 mois de travail. Il y a 75 semaines de travail avant Pékin. J'ai dit aux athlètes que si sur chaque semaine de travail, ils avaient un objectif et qu'ils atteignaient ces objectifs pour chaque semaine, on pourrait voir de belles choses à Pékin. » Le DTN voit plusieurs rendez-vous importants dans son échéancier avec les Championnats de France à Saint-Raphaël fin juin, un stage de dix jours en Chine avant l'Open de Paris début août et surtout la sélection pour les JO en avril à Dunkerque qui « sera incontournable, il faudra être prêt à ce moment-là, l'équipe olympique se dégagera de cette sélection. » Bien sûr, les athlètes - ceux qui le souhaitent - seront également amenés à participer aux Championnats d'Europe à Eindhoven. Il n'y aura pas de nageurs sélectionnés d'office.



Avantage Etats-Unis

« Le décor est planté pour Pékin avec une domination extraordinaire des USA. Peut-être que cette nation n'a jamais été aussi forte ? J'y vois plus qu'une domination de puissance, une domination technique. C'est tout à fait nouveau, il y a eu un énorme travail pour les Américains sur les aspects techniques de ce sport, les virages, les départs. Ce ne sont pas seulement des handicaps pour nous mais pour l'ensemble des autres nations. Ils ont pris un avantage important. Ils ont estimé il y a quelques années que s'ils ne réagissaient leur hégémonie pouvait être mise en question. Ce travail est tout à fait remarquable.»



Recueilli par Sophie DORGAN, à Melbourne.

source:www.lequipe.fr
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MessageSujet: Re: compte-rendu des mondiaux de Melbourne   compte-rendu des mondiaux de Melbourne EmptyLun 2 Avr - 16:09

C'est vrai que mine de rien on attendait mieux de cette belle equipe de France... Les Metella, Baron & CO devaient pretendre a des medailles...
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